dimanche, novembre 12, 2006

La guerre en chIraK : Sarko maintient ses troupes

Exclusif, dernière minute. chIrak se qualifie pour la finale du Masters UMP. Face à lui, Sarko, qualifié d'office pour la finale, sans jouer. La cote du match : 45 chIrak/55 Sarko

Sa longévité n'étonne plus personne : chIrak puise sa motivation et son énergie dans les duels fratricides (Chaban, Giscard, Balladur).

Les paris sont ouverts, l'intellectualisme parisien ose et s'engage, le combat est passionnant :
- Pascal Sevran, enfin radié d'antenne sous Jospin, n'est plus socialiste. Il soutien Sarko. Ceux qui les connaissent bien savent que Tintin, c'était Sarko.
- Patrick Sébastien : l'homme du troisième degré voire beaucoup plus...Son premier degré arrive tout de suite au cerveau, sans détour : la puissance de ses arguments est sidérante. Son deuxième degré n'est pas perceptible, c'est ça le troisième degré : tout le monde se dit qu'il doit bien y avoir autre chose. Peut-être faut-il encore quelques degrés supplémentaires, mais à consommer vraiment avec modération. Sa grande qualité : la fidélité. Il soutient ChIrak. Sa dernière contrepétrie : "chIrak ose, Sarko chie".

Avant le grand combat, les seconds couteaux vont s'aiguiser : nous attendons avec une grande impatience le concours de chant "Sevran-Sébastien".

Le fond fond sous l'affront du front. La forme forme la genèse de la réforme.